Il est partout, vous n'avez pas pu le rater ! Venu tout droit de l'aristocratie du XVIIIe, il a défilé les podiums de la haute-couture pour finir dans le dressing de Madame-tout-le-monde. Le corset est la star de la saison et a la particularité de se porter... avec tout. T-shirt, robe, chemise ou blouse, à lacets ou à boucles, cousu à même le t-shirt ou seul, le corset s'adapte et s'ajoute à tous les styles. Resserrable à volonté, le dérivé de la tendance lace-up marque la taille et ceinture les looks. Je l'ai adopté, il apporte une touche classique (quoi que décalée) à ma tenue rock.
Ici, je le porte serré à la taille sur une blouse très large. Celui-ci a la particularité d'être vendu seul, comme une ceinture, pour pouvoir le porter avec tout. Mais il existe énormément de modèles de t-shirt avec un corset déjà intégré, l'occasion de tester plusieurs styles de corset. Juste après une sélection de quelques modèles à shopper d'urgence !
w/ love,
Charlie
La tendance corset
4/07/2017
Il est partout, vous n'avez pas pu le rater ! Venu tout droit de l'aristocratie du XVIIIe, il a défilé les podiums de la haute-couture pour finir dans le dressing de Madame-tout-le-monde. Le corset est la star de la saison et a la particularité de se porter... avec tout. T-shirt, robe, chemise ou blouse, à lacets ou à boucles, cousu à même le t-shirt ou seul, le corset s'adapte et s'ajoute à tous les styles. Resserrable à volonté, le dérivé de la tendance lace-up marque la taille et ceinture les looks. Je l'ai adopté, il apporte une touche classique (quoi que décalée) à ma tenue rock.
Ici, je le porte serré à la taille sur une blouse très large. Celui-ci a la particularité d'être vendu seul, comme une ceinture, pour pouvoir le porter avec tout. Mais il existe énormément de modèles de t-shirt avec un corset déjà intégré, l'occasion de tester plusieurs styles de corset. Juste après une sélection de quelques modèles à shopper d'urgence !
w/ love,
Charlie
Le sourire est un sujet qui me tenait à coeur. Il fallait que je l'aborde ici ! C'est une habitude qui fait partie de moi et qui me caractérise beaucoup. Non seulement parce qu'il est scotché à mon visage la plupart du temps mais aussi parce qu'il est au centre de ma philosophie de vie. Je crois très sérieusement à l'impact positif qu'il a sur la qualité de vie pour l'expérimenter depuis longtemps. Sourire ne demande pas beaucoup d'efforts et est totalement gratuit alors voici 4 raisons qui, je l'espère, vont vous convaincre d'en user davantage.
Sourire est communicatif
Le sourire rassemble les gens et rend sympathique. Souriez, vous rayonnez ! Chaque sourire cache une volonté de partager une émotion et créer un contact. Plus vous sourirez et plus vous dégagerez de sympathie et réunirez les gens autour de vous. Cet acte est fraternel, attirant et bienveillant. Il est le meilleur moyen d'insuffler de la bonne humeur et d'aider les autres à positiver également.
"On est plus beau quand on sourit de toute façon"
...a dit Garance Doré. Tout comme Jane Birkin qui a dit "Gardez le sourire, vous gagnerez 10 ans !". Chacune d'elle a mit le doigt sur une réalité non discutable : sourire rend beau. Physiquement d'abord, parce qu'il ouvre le visage, le rend attirant et séduisant. Il lisse les rides et rajeunit instantanément. Mais pas seulement. Il inspire également au niveau psychologique. Les gens qui sourient semblent plus confiants, chaleureux, sûrs d'eux et heureux, donc plus intéressants.
Sourire désamorce les conflits
Lors d'une dispute ou simplement lorsque l'ambiance est tendue, tout pousse à sombrer dans la violence et l'agressivité : l'atmosphère, le ton mais surtout l'air et la mine. Pour moi en tout cas, me retrouver face à un visage fermé et tendu est déjà source d'anxiété. Le sourire lui, puisqu'il est communicatif, est une alternative pour apaiser le conflit. Il crée des liens et il est presque impossible de rester de marbre face à lui. Il se veut conciliant, juste et inspirant. La colère et l'impulsivité guident les conflits et altèrent le jugement. C'est d'ailleurs souvent pour cela que l'on regrette ses actes et paroles juste après. Sourire aide à l'apaisement et permet de reconsidérer sa position.
Sourire rend heureux
Le point le plus important et là où je veux en venir. Je vous défie de sourire et de ne pas ressentir de joie instantanément. L'exercice est benêt et pourtant convainquant (Allez-y, essayez). Il est source de bien-être et peut guérir vos maux. Je vous l'assure, sourire est le meilleur antidépresseur. Souriez quand tout va bien mais surtout quand rien ne va. C'est comme ça que j'ai découvert son pouvoir et qu'il m'a aidée à relativiser. Je ne dis pas qu'il faille se forcer mais simplement prendre l'habitude de sourire de l'extérieur pour sourire ensuite de l'intérieur. Sourire implique une réflexion. "Qu'est-ce qui me pousse à me sentir mal ?", "La raison est-elle valable ?", "Y a-t-il plus de négatif que de positif ?". C'est grâce à cet exercice que j'ai découvert que nous somme régis par le négatif et qu'il l'emporte bien trop souvent sur le positif. La société actuelle se complait dans ses problèmes et aime à ne voir qu'à travers eux. "Rien ne va", "Je n'ai pas de chance", "Je suis malheureux". Seulement ces états émanent de nous-même. Souriez, relativisez et vous commencerez à vivre heureux. Tout ne mérite pas un sourire et aucun parcours de vie est vierge de malheurs. Soit. Alors pleurez quand c'est le moment mais souriez le reste du temps.
w/ love,
Charlie
"Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup : Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvrir ceux qui le donnent. Il ne dure qu'un instant mais son souvenir peut être éternel. Personne n'est assez riche pour s'en passer, personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter" - Raoul Follereau.
4 bonnes raisons de sourire davantage
4/03/2017
Le sourire est un sujet qui me tenait à coeur. Il fallait que je l'aborde ici ! C'est une habitude qui fait partie de moi et qui me caractérise beaucoup. Non seulement parce qu'il est scotché à mon visage la plupart du temps mais aussi parce qu'il est au centre de ma philosophie de vie. Je crois très sérieusement à l'impact positif qu'il a sur la qualité de vie pour l'expérimenter depuis longtemps. Sourire ne demande pas beaucoup d'efforts et est totalement gratuit alors voici 4 raisons qui, je l'espère, vont vous convaincre d'en user davantage.
Sourire est communicatif
Le sourire rassemble les gens et rend sympathique. Souriez, vous rayonnez ! Chaque sourire cache une volonté de partager une émotion et créer un contact. Plus vous sourirez et plus vous dégagerez de sympathie et réunirez les gens autour de vous. Cet acte est fraternel, attirant et bienveillant. Il est le meilleur moyen d'insuffler de la bonne humeur et d'aider les autres à positiver également.
"On est plus beau quand on sourit de toute façon"
...a dit Garance Doré. Tout comme Jane Birkin qui a dit "Gardez le sourire, vous gagnerez 10 ans !". Chacune d'elle a mit le doigt sur une réalité non discutable : sourire rend beau. Physiquement d'abord, parce qu'il ouvre le visage, le rend attirant et séduisant. Il lisse les rides et rajeunit instantanément. Mais pas seulement. Il inspire également au niveau psychologique. Les gens qui sourient semblent plus confiants, chaleureux, sûrs d'eux et heureux, donc plus intéressants.
Sourire désamorce les conflits
Lors d'une dispute ou simplement lorsque l'ambiance est tendue, tout pousse à sombrer dans la violence et l'agressivité : l'atmosphère, le ton mais surtout l'air et la mine. Pour moi en tout cas, me retrouver face à un visage fermé et tendu est déjà source d'anxiété. Le sourire lui, puisqu'il est communicatif, est une alternative pour apaiser le conflit. Il crée des liens et il est presque impossible de rester de marbre face à lui. Il se veut conciliant, juste et inspirant. La colère et l'impulsivité guident les conflits et altèrent le jugement. C'est d'ailleurs souvent pour cela que l'on regrette ses actes et paroles juste après. Sourire aide à l'apaisement et permet de reconsidérer sa position.
Sourire rend heureux
Le point le plus important et là où je veux en venir. Je vous défie de sourire et de ne pas ressentir de joie instantanément. L'exercice est benêt et pourtant convainquant (Allez-y, essayez). Il est source de bien-être et peut guérir vos maux. Je vous l'assure, sourire est le meilleur antidépresseur. Souriez quand tout va bien mais surtout quand rien ne va. C'est comme ça que j'ai découvert son pouvoir et qu'il m'a aidée à relativiser. Je ne dis pas qu'il faille se forcer mais simplement prendre l'habitude de sourire de l'extérieur pour sourire ensuite de l'intérieur. Sourire implique une réflexion. "Qu'est-ce qui me pousse à me sentir mal ?", "La raison est-elle valable ?", "Y a-t-il plus de négatif que de positif ?". C'est grâce à cet exercice que j'ai découvert que nous somme régis par le négatif et qu'il l'emporte bien trop souvent sur le positif. La société actuelle se complait dans ses problèmes et aime à ne voir qu'à travers eux. "Rien ne va", "Je n'ai pas de chance", "Je suis malheureux". Seulement ces états émanent de nous-même. Souriez, relativisez et vous commencerez à vivre heureux. Tout ne mérite pas un sourire et aucun parcours de vie est vierge de malheurs. Soit. Alors pleurez quand c'est le moment mais souriez le reste du temps.
w/ love,
Charlie
"Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup : Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvrir ceux qui le donnent. Il ne dure qu'un instant mais son souvenir peut être éternel. Personne n'est assez riche pour s'en passer, personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter" - Raoul Follereau.
Et si on mettait un peu de soleil dans nos vies ? À Marseille en ce moment, impossible de mettre un pied dehors sans écharpe ni parapluie #déprime. Ce dimanche m'a donc confortée dans l'idée de m'enfouir sous ma couette, Netflix ON et makeup OFF. L'occasion de prendre soin de ma peau catastrophique. Depuis que j'ai été opérée en novembre, je n'arrive plus à me regarder dans le miroir. Ma peau ne me laisse aucun répit et surtout elle ne s'améliore pas malgré toute l'énergie (et l'argent) que j'y mets. J'ai donc décidé de stopper tous mes soins chimiques et de passer à une routine 100% naturelle.
Depuis quelques semaines, je ne traite ma peau qu'avec des produits naturels et je commence déjà à voir un résultat. Vous imaginez ? Après plusieurs mois passés à me tartiner le visage de crèmes et lotions sans voir le moindre changement ? J'ai enfin l'impression d'avancer dans cette guerre contre les imperfections. Il m'est donc paru évident de créer un onglet spécial beauté AU NATUREL sur le blog. Comment ne pas partager cette découverte ? Vous y trouverez toutes mes astuces et mes nouvelles routines naturelles.
On commence donc avec avec ce masque frais et simplissime à base de papaye ! L'improbable fruit dont j'ignorais totalement les vertus. Et vous aussi, j'en suis sûre.
LES BIENFAITS DE LA PAPAYE SUR LA PEAU
Ce fruit exotique (lorsqu'il est mûr) est bourré de papaïne, un enzyme exfoliant qui élimine les cellules mortes de la peau pour mieux l'illuminer. La papaye est riche en vitamines et acides aminés, c'est un puissant régénérant pour la peau et un allier de poids pour se débarrasser des points noirs et des imperfections ! Elle permet de désobstruer les pores, accélère la cicatrisation (des boutons par exemple) et permet d'éliminer petit à petit les tâches brunes. Vous l'aurez compris, ce fruit est votre meilleur ami pour purifier, hydrater et illuminer votre peau.
LA RECETTE
Je crois n'avoir jamais fait de masque aussi simple puisque vous n'avez besoin que d'un seul ingrédient (c'est dur...) : une papaye !
Coupez une petite tranche, retirez la peau et les pépins et à l'aide d'une fourchette, écrasez la pulpe jusqu'à obtenir une texture liquide. Appliquez sur les zones à traiter pendant 15 minutes et rincez à l'eau froide/tiède. C'est fini ! À renouveler une fois par semaine sur les zones concernées jusqu'à amélioration.
Attention, avant application, testez la mixture sur la paume de votre main afin de prévenir toute réaction allergique.
w/ love,
Charlie
Masque anti-imperfections à la papaye
3/05/2017
Et si on mettait un peu de soleil dans nos vies ? À Marseille en ce moment, impossible de mettre un pied dehors sans écharpe ni parapluie #déprime. Ce dimanche m'a donc confortée dans l'idée de m'enfouir sous ma couette, Netflix ON et makeup OFF. L'occasion de prendre soin de ma peau catastrophique. Depuis que j'ai été opérée en novembre, je n'arrive plus à me regarder dans le miroir. Ma peau ne me laisse aucun répit et surtout elle ne s'améliore pas malgré toute l'énergie (et l'argent) que j'y mets. J'ai donc décidé de stopper tous mes soins chimiques et de passer à une routine 100% naturelle.
Depuis quelques semaines, je ne traite ma peau qu'avec des produits naturels et je commence déjà à voir un résultat. Vous imaginez ? Après plusieurs mois passés à me tartiner le visage de crèmes et lotions sans voir le moindre changement ? J'ai enfin l'impression d'avancer dans cette guerre contre les imperfections. Il m'est donc paru évident de créer un onglet spécial beauté AU NATUREL sur le blog. Comment ne pas partager cette découverte ? Vous y trouverez toutes mes astuces et mes nouvelles routines naturelles.
On commence donc avec avec ce masque frais et simplissime à base de papaye ! L'improbable fruit dont j'ignorais totalement les vertus. Et vous aussi, j'en suis sûre.
LES BIENFAITS DE LA PAPAYE SUR LA PEAU
Ce fruit exotique (lorsqu'il est mûr) est bourré de papaïne, un enzyme exfoliant qui élimine les cellules mortes de la peau pour mieux l'illuminer. La papaye est riche en vitamines et acides aminés, c'est un puissant régénérant pour la peau et un allier de poids pour se débarrasser des points noirs et des imperfections ! Elle permet de désobstruer les pores, accélère la cicatrisation (des boutons par exemple) et permet d'éliminer petit à petit les tâches brunes. Vous l'aurez compris, ce fruit est votre meilleur ami pour purifier, hydrater et illuminer votre peau.
LA RECETTE
Je crois n'avoir jamais fait de masque aussi simple puisque vous n'avez besoin que d'un seul ingrédient (c'est dur...) : une papaye !
Coupez une petite tranche, retirez la peau et les pépins et à l'aide d'une fourchette, écrasez la pulpe jusqu'à obtenir une texture liquide. Appliquez sur les zones à traiter pendant 15 minutes et rincez à l'eau froide/tiède. C'est fini ! À renouveler une fois par semaine sur les zones concernées jusqu'à amélioration.
Attention, avant application, testez la mixture sur la paume de votre main afin de prévenir toute réaction allergique.
w/ love,
Charlie
J'ai toujours eu dans un coin de ma tête l'idée de me faire tatouer. Du moins, à 16 ans, je me souviens très bien du jour où ma soeur a fait faire son premier. Un soir après les cours, dans le salon de tatouage d'à côté, avec la très nette idée de ce qu'elle voulait mais pas tellement de comment elle le voulait. Je l'ai accompagnée pendant la bonne heure que ça a duré et je me suis juré que "moi aussi, à 18 ans, je me ferais tatouer". Alors voilà qu'à peine majeure je passais la porte du tatoueur, un peu hésitante mais très déterminée, un brin rebelle même (il faut dire que mes parents n'étaient pas enchantés mais "c'est mon corps ok?"). Rebelle mais jamais irréfléchie. Pour me faire tatouer, il était clair qu'il devait y avoir une bonne raison et une signification chère à mon coeur. J'y tenais réellement et j'y tiens toujours. Girouette que je suis, il m'en faut peu pour changer d'avis et au final regretter mes choix.
Voici donc le bébé. Sur la côte pour un premier : mais quelle bonne idée ! J'ai passé un sale quart d'heure. J'ai cru qu'on cisaillait mon os et que tout mon corps tremblait sous l'aiguille. Mais si c'était à refaire, je ne changerais rien. Même pas la phrase qui, je suis sûre, n'est pas très parlante pour vous. J'ai l'habitude, personne ne comprend jamais. Pour être honnête, je l'ai volontairement voulue un peu floue. C'est le début d'une réflexion. Toujours pas ? Bon. Elle fait écho au drame familial que j'ai vécu il y a bientôt 10 ans. Vous le connaissez pratiquement tous j'imagine : la perte d'un être cher, les larmes à chaque coin où l'on pose les yeux, le désespoir, enfin, le deuil. Cette personne a laissé un grand vide et un poème trône toujours à côté de sa photo chez mes grands-parents. Vous savez, ce poème de Charles Peguy qui dit "La mort n'est rien, je suis juste passé dans la pièce à côté". Je lui ai toujours associé ces mots et quelque part, c'est comme ça que j'ai fais mon deuil. En étant persuadée qu'il était toujours là quelque part à nous veiller et nous protéger. Voilà d'où vient ma phrase "peu importe où je vais" en anglais "no matter where I go". Un sous-entendu qui signifie que peu importe où je suis dans ce monde, ici ou ailleurs, quoi que je fasse de ma vie, il sera toujours là. Ça peut paraître bébête, un peu niais, mais à 18 ans, il n'y a que ça que je voulais me faire encrer dans la peau pour toujours. Et je m'étais d'ailleurs promis que je n'en aurais qu'un pour cette même raison. Ahhhhh la niaise !
Deux ans plus tard, j'y repassais ! Mais oui, souvenez-vous, j'y réservais un article complet il y a quelques mois.
Une jolie vague sur le pied. Faite à Dubrovnik, en Croatie, du jour au lendemain, en compagnie de mes meilleures copines. Dit comme ça, mon plaidoyer sur l'importance de passer à l'acter pour une vraie raison s'effondre, c'est clair. Mais au contraire, même s'il a été fait sur un coup de tête, il n'en est pas moins l'un de mes tatouages préféré et celui qui en dit le plus sur ma philosophie. C'est celui qui me fait sourire à chaque fois et que je ne pourrais jamais regretter. Il me ramène à l'une des plus belles expériences jamais vécue dans ma vie : la transition entre ma vie d'étudiante et ma vie d'adulte, le diplôme bien mérité, le voyage de rêve au soleil entre copines, l'aventure, les rires, les sorties, les découvertes. Bref, le pied. Vous comprenez la subtilité ? J'aime ce tatouage pour tout ce qu'il m'inspire. Il me fait toujours réfléchir à l'importance de l'amitié et à l'importance de prendre des risques pour vivre de grandes choses. Il me fait me souvenir des efforts fourni pour arriver à la vie que j'ai aujourd'hui, que le travail acharné paie toujours et qu'en y mettant tout son coeur, chaque petite vague peut se changer en tsunami.
On passe maintenant au dernier en date. Frais d'il y a dix jours. À mes yeux le plus réussi et celui que je ne me lasse pas de regarder toute la journée.
Sur le poignet, un rameau d'olivier qui embrasse une branche de coquelicots. J'ai vu sur Instagram (@thischarlie) qu'il vous avait beaucoup plu ! Ici, la signification est assez profonde puisqu'il s'agit d'un tatouage "dédié" à mes parents. D'un côté la branche d'olivier, préférée de mon papa, et de l'autre les coquelicots, préférés de ma maman. Le poignet gauche puisque c'est la main de la famille et puis une pensée pour eux car je leur suis reconnaissante pour la vie qu'ils m'ont offerte et surtout pour la philosophie de vie qu'ils nous ont inculqué à ma soeur et moi. Je suis persuadée d'avoir des parents vraiment spéciaux et j'avais envie de m'en souvenir pour toujours à travers une forme un peu moins traditionnelle que des initiales.
Voilà, vous savez tout !
w/ love,
Charlie
Ce que mes tatouages disent de moi
3/01/2017
J'ai toujours eu dans un coin de ma tête l'idée de me faire tatouer. Du moins, à 16 ans, je me souviens très bien du jour où ma soeur a fait faire son premier. Un soir après les cours, dans le salon de tatouage d'à côté, avec la très nette idée de ce qu'elle voulait mais pas tellement de comment elle le voulait. Je l'ai accompagnée pendant la bonne heure que ça a duré et je me suis juré que "moi aussi, à 18 ans, je me ferais tatouer". Alors voilà qu'à peine majeure je passais la porte du tatoueur, un peu hésitante mais très déterminée, un brin rebelle même (il faut dire que mes parents n'étaient pas enchantés mais "c'est mon corps ok?"). Rebelle mais jamais irréfléchie. Pour me faire tatouer, il était clair qu'il devait y avoir une bonne raison et une signification chère à mon coeur. J'y tenais réellement et j'y tiens toujours. Girouette que je suis, il m'en faut peu pour changer d'avis et au final regretter mes choix.
Voici donc le bébé. Sur la côte pour un premier : mais quelle bonne idée ! J'ai passé un sale quart d'heure. J'ai cru qu'on cisaillait mon os et que tout mon corps tremblait sous l'aiguille. Mais si c'était à refaire, je ne changerais rien. Même pas la phrase qui, je suis sûre, n'est pas très parlante pour vous. J'ai l'habitude, personne ne comprend jamais. Pour être honnête, je l'ai volontairement voulue un peu floue. C'est le début d'une réflexion. Toujours pas ? Bon. Elle fait écho au drame familial que j'ai vécu il y a bientôt 10 ans. Vous le connaissez pratiquement tous j'imagine : la perte d'un être cher, les larmes à chaque coin où l'on pose les yeux, le désespoir, enfin, le deuil. Cette personne a laissé un grand vide et un poème trône toujours à côté de sa photo chez mes grands-parents. Vous savez, ce poème de Charles Peguy qui dit "La mort n'est rien, je suis juste passé dans la pièce à côté". Je lui ai toujours associé ces mots et quelque part, c'est comme ça que j'ai fais mon deuil. En étant persuadée qu'il était toujours là quelque part à nous veiller et nous protéger. Voilà d'où vient ma phrase "peu importe où je vais" en anglais "no matter where I go". Un sous-entendu qui signifie que peu importe où je suis dans ce monde, ici ou ailleurs, quoi que je fasse de ma vie, il sera toujours là. Ça peut paraître bébête, un peu niais, mais à 18 ans, il n'y a que ça que je voulais me faire encrer dans la peau pour toujours. Et je m'étais d'ailleurs promis que je n'en aurais qu'un pour cette même raison. Ahhhhh la niaise !
Deux ans plus tard, j'y repassais ! Mais oui, souvenez-vous, j'y réservais un article complet il y a quelques mois.
Une jolie vague sur le pied. Faite à Dubrovnik, en Croatie, du jour au lendemain, en compagnie de mes meilleures copines. Dit comme ça, mon plaidoyer sur l'importance de passer à l'acter pour une vraie raison s'effondre, c'est clair. Mais au contraire, même s'il a été fait sur un coup de tête, il n'en est pas moins l'un de mes tatouages préféré et celui qui en dit le plus sur ma philosophie. C'est celui qui me fait sourire à chaque fois et que je ne pourrais jamais regretter. Il me ramène à l'une des plus belles expériences jamais vécue dans ma vie : la transition entre ma vie d'étudiante et ma vie d'adulte, le diplôme bien mérité, le voyage de rêve au soleil entre copines, l'aventure, les rires, les sorties, les découvertes. Bref, le pied. Vous comprenez la subtilité ? J'aime ce tatouage pour tout ce qu'il m'inspire. Il me fait toujours réfléchir à l'importance de l'amitié et à l'importance de prendre des risques pour vivre de grandes choses. Il me fait me souvenir des efforts fourni pour arriver à la vie que j'ai aujourd'hui, que le travail acharné paie toujours et qu'en y mettant tout son coeur, chaque petite vague peut se changer en tsunami.
On passe maintenant au dernier en date. Frais d'il y a dix jours. À mes yeux le plus réussi et celui que je ne me lasse pas de regarder toute la journée.
Sur le poignet, un rameau d'olivier qui embrasse une branche de coquelicots. J'ai vu sur Instagram (@thischarlie) qu'il vous avait beaucoup plu ! Ici, la signification est assez profonde puisqu'il s'agit d'un tatouage "dédié" à mes parents. D'un côté la branche d'olivier, préférée de mon papa, et de l'autre les coquelicots, préférés de ma maman. Le poignet gauche puisque c'est la main de la famille et puis une pensée pour eux car je leur suis reconnaissante pour la vie qu'ils m'ont offerte et surtout pour la philosophie de vie qu'ils nous ont inculqué à ma soeur et moi. Je suis persuadée d'avoir des parents vraiment spéciaux et j'avais envie de m'en souvenir pour toujours à travers une forme un peu moins traditionnelle que des initiales.
Voilà, vous savez tout !
w/ love,
Charlie
Celui qui a dit qu’il manque un jour entre samedi et dimanche a définitivement raison. Je vous écris sur le retour d’un week-end au ski bien trop rapide passé (avec un petit chien en combi ! Voir sur insta @thischarlie) Heureusement, j’ai pris le temps d’immortaliser ma tenue d’aujourd’hui dans le cadre idyllique et apaisant de la montagne et je dois dire que j’ai adoré ce shoot. Je suis une fille de l’été alors autant dire que l’hiver je ne sais pas m’habiller. Clairement, je déteste le froid et il ne m’aide vraiment pas à être inspirée pour lutter contre lui. Pour un week-end au ski, j’ai quand même trouvé une tenue sympa sans sortir la doudoune bibendum avec deux-trois astuces.
J’ai misé sur toutes les pièces les plus chaudes que j’avais avec moi. Le bon crédo c’est de ne jamais hésiter à superposer d’en faire des tonnes. Tout d’abord, j’ai sorti LE manteau camel parfait. J’en cherchais un exactement comme celui là et j’ai bataillé pour le trouver. Il est hyper épais, coupe bien le vent tiens donc extrêmement chaud, parfait pour un temps de neige comme ici. Juste en dessous, encore une veste ! #PoupéeRusse. Même si le manteau pouvait suffire ce jour là, je me suis quand même laissée tenter par un layering comme je les aime : avec une veste en jean. Pour le reste, rien de plus simple. Un pull XXL lacé (love) par dessus un sous-pull Damart, sponsor officiel de nos mamies mais essentiel à la survie et mon jean favoris, un mom destroy. On finit avec LE détail à ne pas zapper pour rester au chaud : les chaussettes ! Ici de une paire de mi-hautes bien épaisse qui ne laisse rien passer, une nécessité ici avec les pieds dans la neige. Et pour terminer une paire de bottines en cuir épais. Rien de plus (c'est déjà bien assez), rien de moins.
MANTEAU (old – très similaire ici et en soldes!!) / VESTE EN JEAN / PULL LACÉ (old - similaire ici ou ici ) / SOUS-PULL / JEAN MOM (sold out - similaire ici ou ici / CHAUSSETTES / BOTTINES (sold out - similaires ici)
w/ love, Charlie
Keep cool and warm
2/12/2017
Celui qui a dit qu’il manque un jour entre samedi et dimanche a définitivement raison. Je vous écris sur le retour d’un week-end au ski bien trop rapide passé (avec un petit chien en combi ! Voir sur insta @thischarlie) Heureusement, j’ai pris le temps d’immortaliser ma tenue d’aujourd’hui dans le cadre idyllique et apaisant de la montagne et je dois dire que j’ai adoré ce shoot. Je suis une fille de l’été alors autant dire que l’hiver je ne sais pas m’habiller. Clairement, je déteste le froid et il ne m’aide vraiment pas à être inspirée pour lutter contre lui. Pour un week-end au ski, j’ai quand même trouvé une tenue sympa sans sortir la doudoune bibendum avec deux-trois astuces.
J’ai misé sur toutes les pièces les plus chaudes que j’avais avec moi. Le bon crédo c’est de ne jamais hésiter à superposer d’en faire des tonnes. Tout d’abord, j’ai sorti LE manteau camel parfait. J’en cherchais un exactement comme celui là et j’ai bataillé pour le trouver. Il est hyper épais, coupe bien le vent tiens donc extrêmement chaud, parfait pour un temps de neige comme ici. Juste en dessous, encore une veste ! #PoupéeRusse. Même si le manteau pouvait suffire ce jour là, je me suis quand même laissée tenter par un layering comme je les aime : avec une veste en jean. Pour le reste, rien de plus simple. Un pull XXL lacé (love) par dessus un sous-pull Damart, sponsor officiel de nos mamies mais essentiel à la survie et mon jean favoris, un mom destroy. On finit avec LE détail à ne pas zapper pour rester au chaud : les chaussettes ! Ici de une paire de mi-hautes bien épaisse qui ne laisse rien passer, une nécessité ici avec les pieds dans la neige. Et pour terminer une paire de bottines en cuir épais. Rien de plus (c'est déjà bien assez), rien de moins.
MANTEAU (old – très similaire ici et en soldes!!) / VESTE EN JEAN / PULL LACÉ (old - similaire ici ou ici ) / SOUS-PULL / JEAN MOM (sold out - similaire ici ou ici / CHAUSSETTES / BOTTINES (sold out - similaires ici)
w/ love, Charlie
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